Mo Baala, an elected artist.
Mo Baala, he says his job chose him. Art has always been in him but life has only recently revealed it. It is Marc Belli, photographer, who spotted this young person with atypical accents. Ten years ago, he sold cigarettes in the streets. Today, Moroccan artistic discussions are omnipresent. Mo Baala did not study in any art school but rather that of life. He was born in 1986 and grew up in Taroudant.
Mo Baala, un élu de l’art
Il dit que son métier l’a choisi. L’art a toujours été en lui mais la vie ne l’a révélé que dernièrement. C’est Marc Belli, photographe, qui a repéré ce jeune aux accents atypiques. Il y a 10 ans, il vendait des cigarettes à l’unité dans les rues. Aujourd’hui, il est omniprésent des discussions artistiques marocaines. Ma Baala n’a fait aucune école d’art mais plutôt celle de la vie. Il est né en 1986 et a grandi à Taroudant.
Extract from a portfolio “The Hunger of leaving” – Paintings and texts on Kraft paper
Extrait d’un portfolio “The Hunger of leaving” – Peintures et textes sur papier Kraft
“The Life of Information” – Drawings and Collages on Book Page
“La vie de l’information” – Dessins et collages sur page de livre
Colours to Hide the Violence Series
Série : des couleurs pour cacher la violence.
Details of an architect’s plan enhanced with drawings
Détails d’un plan d’architecte rehaussé de dessins
Series “I used to, May be poetry” small antique trunk enhanced with drawings and including 123 mini canvases.
Série “I used to, May be poetry” petite malle ancienne rehaussée de dessins et comprenant 123 mini toiles
A spooky work
His childhood, his life is reflected in his work. In his work again, creatures half-men, half-monsters in the manner of Hieronymus Bosch, collages, graffiti, videos too, writing, song, interpretation … His practice is plural, so much that it seeks to retranscribe encounters, emotions, the reflections of this artist who now officially hatches. This man likes to walk, to let go. He travels between Moroccan cities alone with the focus on encounters or personal reflection. He absorbs and transmits. Today the entire moroccan art scene talks about him.
Une œuvre fantasmagorique
Son enfance, sa vie se traduisent dans son œuvre. Dans son travail encore, des créatures mi-hommes, mi-monstres à la manière de Jérôme Bosch, des collages, des graffitis, des vidéos aussi, de l’écriture, de la chanson, de l’interprétation… Sa pratique est plurielle tant elle cherche à retranscrire les rencontres, les émotions, les réflexions de cet artiste qui éclot désormais officiellement. L’homme aime marcher, se laisser aller. Il relie des villes marocaines seuls avec pour unique motif, la rencontre ou la réflexion personnelle. Il absorbe et transmet. Mo Baala est celui dont toute la scène artistique marocaine parle.